L’économie mondiale intègre de plus en plus le financement de même que les mouvements des capitaux entre pays émergents. Ainsi, il faut noter que le monde de la finance offre de nouvelles dynamiques. Si vous désirez en savoir plus à propos de ces dynamiques, lisez attentivement l’intégralité de cet article.
L’ampleur du phénomène
Il existe un tableau récapitulatif des mesures des changements majeurs survenues depuis bien des années dans la répartition des déficits et des excédents de la balance des paiements mondiale. Les chiffres inscrits dans ce tableau sont d’une aide économique très importante. Ainsi, le déficit des produits intérieurs bruts des États-Unis a atteint un quota de 6,2% en 2006 contre un taux de 5,7% en 2007. En ce qui concerne l’excédent en Chine, il représente 9,4% de son PIB en 2007 contrairement en 2007 qui s’ estimait à 11,7%. Ces différentes grandeurs représentent l’historique des records. De manière traditionnelle, les pays industrialisés possédaient des excédents de balances des paiements et exportaient leurs surplus vers les pays en développement.
Les pays émergents disposent des trois quarts des réserves mondiales
L’optimisation des données survenues depuis des années au niveau des réserves extérieures des pays émergents est saisissante. Le fait qu’il ait eu des changements, le montant total des réserves détenues par les pays émergents dépasse 3 trillions de dollars. Ce montant représente 72% des réserves mondiales contre 59% en 2000. Ainsi, la Chine ne détient rien qu’à elle plus de 1,4 trillion de dollars avec une optimisation mensuelle de l’ordre de 40 milliards de dollars. De ce fait, la Chine est devenue le tout premier investisseur mondial. Il s’agit à ce niveau d’un changement considérable dans l’équilibre financier sur le plan international. Quant aux États-Unis, ils sont maintenant comme un débiteur net devant certains pays tels que la Chine qui bénéficient d’une position fortement créditrice.